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lundi, avril 28, 2025

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Alphonse Charles Wright :  »ils ont plus de cadavres dans leurs tiroirs que les personnes qu’ils critiquent’’

Alphonse Charles Wright, l’ancien garde des sceaux et ministre de la justice, ne supporte plus des critiques depuis son éviction du gouvernement. Sur sa page Facebook, il a répondu à ses détracteurs qui font le parallèle entre son statut de magistrat et le soutien qu’il affiche pour CNRD.

 

Le ridicule ne tue pas, le silence ne semble pas satisfaire les curieux. C’est l’hôpital qui se moque de la charité.

Le coassement des grenouilles m’empêchera pas l’éléphant de boire. L’égoïsme humain doublé de la haine infinie pour autrui est devenu le sport favori des éternels insatisfaits qui pensent détenir la sainteté ou la vérité absolue.

En quête de publicité gratuite, ils n’hésitent pas à manipuler l’opinion publique en traitant les autres de marionnettes ou de cadres malhonnêtes en quête de poste de responsabilité.

Chaque prise de parole publique est une prise de position et de convictions personnelles.

Loin de poser des questions sur leur devenir ou avenir, certains esprits fournissent plus d’efforts sur la vie des autres que sur leurs propres vies.

Ils ont plus de « cadavres dans leurs tiroirs » que les personnes qu’ils critiquent. Ils usent des moyens illégaux, de la corruption ou de la concussion pour protéger leurs différentes forfaitures ou leurs côtés obscures ou malsains.

Oui, je suis magistrat ayant exercé les fonctions de siège et du parquet dans notre pays.

J’ai exercé ces dites fonctions avec abnégation et au peuple de Guinée d’en juger et non un individu.

Depuis ma nomination à la tête du Ministère de la justice, j’ai, par cet acte présidentiel, été mis à la disposition de l’administration centrale de la justice.

Par voie de conséquence, j’ai quitté momentanément depuis cette date les fonctions judiciaires pour me consacrer à la mise en œuvre de la politique du gouvernement en matière de justice, de l’Etat de droit et des droits de l’homme et ce, conformément aux attributions, organisation et fonctionnement du Ministère de la justice et des droits de l’homme.

Depuis la dissolution du gouvernement, je n’exerce plus les fonctions de Garde des Sceaux, Ministre de la justice et des droits de l’homme.

En revanche, comme tous mes prédécesseurs, je garde mon statut d’ancien membre du gouvernement donc Ministre de la République par la force du destin.

En cette qualité, j’ai réitéré mon soutien aux acquis du gouvernement que j’ai eu la chance d’appartenir et au Président de la République Général Mamadi Doumbouya qui m’avait porté sa confiance.

Est-ce mon statut de magistrat m’interdit en ma qualité d’ancien membre du gouvernement de soutenir le chef de l’Etat dans sa vision éclairée pour notre pays et soutenir des acquis du CNRD notamment sur le plan judiciaire?

Est-ce l’interprétation constitionnelle soulevant des analyses juridiques sur la candidature de tout citoyen guinéen fut-il le président de la République Général Mamadi Doumbouya est-il contraire à mon statut de magistrat ?

Est-il interdit de dégager les principes qui gouvernent les institutions ?

Les mêmes esprits sans limite s’invitent sur ma rémunération après m’avoir accusé de corruption ou d’être corrompu à travers des dénonciations calomnieuses.

De ce point de vue, point de commentaire.

Le salaire d’un magistrat est fixé dans les statuts (rémunération des magistrats prévue par la loi organique portant statuts des magistrats).

Oui, je prends le salaire d’un magistrat de la cour pour avoir occupé les fonctions du Procureur Général près la cour d’Appel de Conakry comme tous les autres magistrats ayant eu les mêmes avancements.

Oui, je n’exerce actuellement aucune fonction de jugement, d’instruction ou de poursuite (de parquet). Car aucun magistrat ne saurait s’auto-nommer à des fonctions judiciaires ou administratives. Tout magistrat est nommé sur proposition du Ministre de la justice et après avis conforme du conseil Supérieur de la Magistrature.

En attendant l’exercice de mes fonctions judiciaires futures, je reste et demeure un magistrat en position de détachement comme au même titre que ceux nommés à des fonctions de directeurs nationaux, directeurs généraux, ambassadeurs ou de conseillers au niveau de l’administration centrale de la justice et ailleurs.

Ces magistrats sont assimilés à ceux du ministère public qui travaillent sous la subordination de la hiérarchie.

Que chacun balaie devant sa porte.

En cachette, ils disent être dans l’esprit du CNRD et en public ils refusent d’assumer leurs convictions.

Reposez-vous.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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