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Charles Wright aux avocats de Djoma Group : « je suis désolé, la procédure a été respectée’’ !

C’est la réponse du berger à la bergère. 24 heures seulement après la sortie médiatique des avocats de la société Djoma group dénonçant les révélations du Procureur général près la cour d’appel sur les dossiers de la CRIEF inculpant leur client Kabinet Sylla, alias Bill Gates, le parquet général dit avoir constaté avec regret que la communication « erronée » et de détresse du pool d’avocats constitué par Djoma groupe.

 

Devant la presse ce mardi 1 er février, le magistrat a affirmé que sa déclaration était tout à fait normale.

« Rien n’interdit à un Procureur général de porter à la connaissance du public, les informations tirées des dénonciations à l’effet, soit par un citoyen, un fonctionnaire d’État ou quiconque. Même les banques ne peuvent pas opposer à la juridiction, l’obligation de confidentialité.  En qui il y’a confidentialité quand on vous dit que les montants qui sont là-bas  sont des montants qui existent et qui ne sont inventés ? Ce n’est pas un secret. Ce qui est évident aujourd’hui, il ressort des pièces qui ont été communiqués au parquet général que y’a des montants déposés sur le compte du groupe Djoma raison pour laquelle nous avons dit que ce sont des faits présumés d’enrichissement illicite. Alors donner de telles informations, est-ce qu’on peut opposer au ministère public l’obligation de confidentialité ? Mais je suis désolé. La procédure n’a même pas commencée. L’ouverture des informations vient d’être faite de ce côté je ne parlerais pas parce qu’il reviendra au Procureur spécial de communiquer dessus. Mais je vous dit encore que sur toute la ligne, la procédure a été régulière. Il faut que cela soit clair et en plus le parquet que je représente est un parquet qui défend la société guinéenne. Si des gens estiment que j’ai violé la procédure, des voix de recours sont ouvertes et je suis prêt à répondre », s’est-il défendu.

 

Lors de la conférence de presse du pool d’avocats de l’ancien intendant à la présidence, ces hommes en robe noire ont relevé que le procureur spécial n’avait ni compétences ni qualité d’enquêter sur les confidentialité du compte de Bill Gates. Une accusation balayée d’un rêver de la main par l’ancien juge du TPI de Dixinn. Il estime que ces défenseurs veulent tout simplement distiller les informations de nature à troubler l’ordre public : « soyez rassuré que la CRIEF à une compétence de juridiction spéciale qui est connue. Lorsque des avocats tirent à boulet rouge sur le procureur spécial pour dire qu’il n’a pas visé des dispositions relevant de sa compétence, ça même je ne répond pas. L’ordonnance sur la CRIEF indique clairement que toute infraction de nature à troubler l’ordre économique est de la compétence de la CRIEF. Est-ce que les faits dénoncés ne sont pas de nature à troubler l’ordre économique ? Je crois c’est façon d’amuser la galerie de faire ce qu’on veut mais nous avions notre sérénité et l’avons jamais perdu depuis le début », a-t-il précisé.

Demba.

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