Ce dimanche 25 avril 2021, l’événement ‹‹72 heures du livre›› a ferme portes et fenêtres. Cette 13è édition avait pour thème « placé sous le signe COVID-19 EN GUINÉE ». « La place des femmes, de la jeunesse et de la paix dans le pays dont nous rêvons. Donc pendant trois jours, le chapiteau du palais du peuple a été le théâtre des expositions, de dédicaces, conférences et panels.
Tenues dans un contexte marqué par la pandémie de Covid-19, les 72 heures du livre ont tenu leur promesse malgré quelques restrictions sanitaires. Pour marquer cette clôture, des conférences débats et panels dirigés par des éminentes personnes venus de la sous région ( Mali, Sénégal, Côte-D’ivoire ou encore le Ghana, ont permis au public d’apprendre plus.
Dans leur communication de circonstance, les panétistes ont mis un accent particulier sur la tradition que des jeunes ont tendance à délaisser au profil du modernisme. En plus des dédicaces d’ouvrages dont la plupart étaient marqué par les jeunes, cette clôture a aussi été marquée la remise des satisfécits à des officiels et représentants d’institutions internationales pour le rôle qu’ils ont joué dans la réussite de l’événement.
L’événement les ‹‹72 heures du livre›› a enchanté les amoureux de la lecture qui ont effectué le déplacement. De passage, ils ont salué et encouragé les maisons d’édition à l’occurrence » l’Harmattan Guinée » de sa disponibilité et son soutien pour la jeunesse guinéenne.
Sansy Kaba Diakité, directeur de l’Harmattan et également organisateur principal de l’événement a souhaité que dans les années à venir que: » Conakry passe de capitale du livre en Conakry capitale africaine du livre ».
Agnès Damba