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Immatriculation des véhicules : 375.000 engins roulants déjà enregistrés !

Depuis 2021, le gouvernement guinéen à travers la Direction générale de documents sécurisés (DSD) a engagé l’opération d’immatriculation et de re-immatriculation des engins roulants. Près de 3 ans après le démarrage de l’opération, le Directeur général de cette a fait le point sur les efforts consentis par son service dans le cadre de ce processus. Djely Mory Doumbouya a fait savoir qu’à date ils ont réussi à enregistré 375 000 engins roulants placés en fonction des types et de l’énergie.

 

“L’immatriculation c’est un élément essentiel parce que toute la sécurité quelque part commence par ça. On parle des routes, on parle des véhicules il faut aussi la sécurisation des véhicules. Qui parle de la sécurisation d’un véhicule parle aussi de ces fichiers qui existent qui permettent d’identifier non seulement un véhicule mais aussi les propriétaires. Donc aujourd’hui nous sommes très fiers de dire qu’en sous peu de temps nous avons réussi à mettre une base de données aujourd’hui qui enregistre 375.000 engins roulants immatriculés, répertoriés et connus. Et classés en fonction des types et des sources d’énergie et de tout ce qui s’en suit. Ça, c’est une première et permet aujourd’hui à la Guinée de donner des statistiques réelles sur le parque automobile. C’est un processus qui continue puisqu’il y a encore beaucoup de véhicules qui ne sont pas immatriculés définitivement mais nous sommes très fiers de pouvoir mettre cette base de données en place au service du peuple de Guinée”, a-t-il indiqué tout en soulignant que cela a été rendu possible grâce au travail abbatu par des équipes déployées sur tout le territoire national.

“Nous avons aujourd’hui 22 agences réparties sur toute l’étendue du territoire national. Nous avons opté pour une immatriculation de proximité parce qu’il faut donner la possibilité à tous les usagers, a tous les citoyens partout où ils sont de pouvoir avoir facilement aux services d’immatriculation”, ajoute t-il.

Par ailleurs, le Directeur général de documents sécurisés (DSD), s’est aussi prononcé le tarif d’immatriculation et de re-immatriculation des engins qui a fait tant de bruits dans la cité. Pour lui, les tarifs fixés par l’État sont plus ou moins abordable pour les usagers.

“Je pense que ça été toujours le problème majeur de ce projet depuis au début jusqu’aujourd’hui. Je disais tantôt qu’il y a 375 000 engins roulants déjà immatriculés a ce prix que les gens jugent exorbitant. Donc je pense que pour une cette modernité nous devions comprendre que quand vous apportez du plus sur la valeur absolue de la technicité avec tout ce que je suis en train de dire, ça des coups. Aujourd’hui ce qui faisait que les gens pensaient que le prix était élevé c’était un guichet unique. C’est-à-dire vous payez les immatriculations au même moment que la vignette et les plaques d’immatriculation et tout ce qui s’en suit. Quand vous regroupez tout ça le montant à tendance à être très élevé. Si non lorsque vous prenez les immatriculations de façon isolée. Par exemple une moto jusqu’à 125 cylindrés, l’immatriculation c’est 500 000 GNF. Et lorsqu’il s’agit de la re-immatriculation ça fait 350 à 380 000 GNF. Si vous prenez un véhicule de zéro jusqu’à 7 chevaux pour l’immatriculer c’est 800.000GNF”, a souligné Djely Mory Doumbouya tout en soulignant que ces tarifs sont parfois gonflé par les intermédiaires.

Des gens qui réclament plus aux propriétaires de véhicules pour faire l’immatriculation ou re-immatriculation de leurs véhicules.

“Parfois on entend des sommes faramineuses, 2.000.000 GNF, 3.000.000 GNF ça, c’est l’effet des intermédiaires. C’est ce qui rende ce travail difficile pour nous parce que nous connaissons les prix qui sont homologués par l’État mais malheureusement il y a aussi des intermédiaires dans la ligne qui prennent la tâche d’aller immatriculer les véhicules pour des personnes et ceux-ci gonflent le prix. C’est surtout de ce côté là que nous devrions tous travailler à démasquer ces gens là, à sensibiliser les usagers afin de venir eux-mêmes. Depuis le début de ce projet en 2021, c’est notre défi majeur c’est-à-dire les intermédiaires. Ce sont des personnes qui sont habituées à ces pratiques depuis longtemps et aujourd’hui on n’a pas besoin d’intermédiaire, n’importe qui peut venir directement payer a la banque le montant mais lorsque vous passez par les intermédiaires ils augmentent. Donc nous luttons de façon inlassable contre cela et nous avons besoin aussi de l’appui des forces de sécurité. Nous avons déjà réussi à éradiquer beaucoup donc les services de sécurité, la presse tout le monde doit travailler dans ce sens”, a indiqué Djely Mory Doumbouya.

Le Directeur général de documents sécurisés de Guinée a fait savoir que cette opération d’immatriculation et de re-immatriculation a permis a l’État d’engranger 78 milliards en 2022 et 76 milliards en 2023.

“Cette opération d’immatriculation a permis de mobiliser 78 milliards en 2022et nous sommes déjà à 76 milliards en 2023 alors que comparer aux années précédentes avant le projet l’immatriculation ne rapportait que 7 milliards dans la caisse de l’État. Et ça se fait sentir aujourd’hui on voit des routes, il y a eu beaucoup de réalisation qui sont en train d’être effectués, l’argent là ne vient pas d’ailleurs, ça vient de là”, a indiqué Djely Mory Doumbouya DG de DSD.

F. Camara.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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