Ce samedi 03 mai 2025, la presse mondiale célèbre la journée internationale de la liberté de presse. Une journée qui ne passe pas inaperçue chez plusieurs acteurs socio-politiques de la Guinée. C’est le cas du président de l’Union Citoyenne pour l’Emergence de la Guinée, qui a profité de l’occasion envisage des mesures pour une « Presse libre et transparente ».
Comme dans de nombreux pays, peut être complexe. Les défis auxquels la presse guinéenne fait face incluent des questions de liberté d’expression, des pressions politiques et des contraintes financières. Dans ce contexte, il est crucial de promouvoir un environnement où les journalistes peuvent travailler sans crainte de répression. Dit-il dans son préambule.
Pour contribuer à une presse plus libre et plus professionnelle en Guinée, plusieurs mesures peuvent être envisagées :
« Protection de la liberté de la presse : Promouvoir des lois qui protègent les journalistes et leur droit à la liberté d’expression est essentiel. Cela inclut des mesures contre la censure et la répression.
La réouverture des médias fermés.
La libération des journalistes en détentions.
Formation professionnelle : Offrir des programmes de formation pour les journalistes sur l’éthique, le journalisme d’investigation, et les nouvelles technologies peut renforcer la qualité de l’information.
Soutien aux médias indépendants : Encourager le développement de médias indépendants et diversifiés peut aider à équilibrer le paysage médiatique, en offrant plusieurs perspectives sur les enjeux.
Sensibilisation du public : Promouvoir l’éducation médiatique parmi le public peut aider les citoyens à mieux comprendre le rôle des médias et l’importance de la liberté de la presse.
Les médias et l’État doivent collaborer pour redonner un nouvel élan à notre pays. ».