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vendredi, octobre 10, 2025

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Licenciement abusif, salaires impayés : des journalistes de Nostalgie réclament leur dû à leur patron dont l’identité n’est pas connue.

Une dizaine de journalistes de la radio Nostalgie a tenu un sit-in devant les locaux du média sis à Kaloum. Ces confrères dont certains sont licenciés, réclament à leur direction cinq mois d’arriérés. Le syndicat des professionnels de la presse privée de Guinée invite le médium à retard ces journalistes dans leur droit au risque de le poursuivre en justice.

 

Tenant des pancartes sur lesquelles on pouvait lire ‘’ licenciement abusif, une famille en détresse ; nous voulons être rétablis dans nos droits ; sit-in jusqu’au paiement intégral ‘’, ces journalistes ont scandé des propos pour dénoncer ce dont ils victimes.

« Nous sommes des anciens travailleurs de la radio Nostalgie Guinée. Nous avons travaillé avec sérieux et dévouement pour cette radio. Mais depuis notre licenciement en avril dernier, l’employeur a manqué à ses obligations légales en ne nous versant ni notre salaire du mois d’avril, ni nos indemnités de licenciement, malgré les multiples relances. Nous avons épuisé toutes les voies amiables, et nous n’avons d’autre choix que d’agir pour obtenir justice. C’est pourquoi nous sommes ici aujourd’hui pour revendiquer ce qui nous est dû car il est temps que nos droits soient respectés et personne ne nous fera plier », a déclaré Ansoumane Nassou Keita.

Après avoir épuisé plusieurs de recours, ces licenciés demandent à leur patron dont l’identité reste un mystère à faire face à ses obligations.

« Nous appelons la direction de Nostalgie Guinée à honorer ses engagements envers nous, et nous demandons aux autorités compétentes de veiller à ce que nos droits soient respectés. Nous ne nous arrêterons pas tant que justice ne sera pas faite », a promis le porte-parole du collectif.

Le médium traverse une crise financière sans précédent, a affirmé l’actuel Directeur général de Nostalgie. Cependant, Ahmadou Hamza Bah tient à rassurer ses travailleurs pour leurs réclamations.

« La radio traverse une crise qui ne dit pas son nom. Toutes les grandes entreprises sont confrontées à ça. C’est une question interne et de réorganisation. Je trouve normal qu’ils viennent leur sit-in devant les locaux de Nostalgie. Ils ont estimé que ça pris du retard.

Je vous assure que dans les heures qui suivent, mes collègues, collaborateurs et anciens collègues seront rétablis dans leur droit avec fierté », s’est engagé M. Bah.

Le SPPG représenté par son porte-parole a promis de suivre de près ce dossier. Abdoulaye Cissé a invité les responsables de Nostalgie à résoudre ce problème le plus tôt que possible. Dans le cas contraire dit-il, « le SPPG va porter plainte au niveau de la justice ».

D. Siba 660978150.

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