Les responsables du Syndicats libres des enseignants chercheurs de Guinée (SLECG) ont demandé, le jeudi, 23 mai, aux autorités de faire la lumière sur le cas de violence dont Aboubacar Soumah et compagnie ont été victimes, lors de la célébration de la fête internationale du travail au palais du peuple, le 1er mai dernier.
Pour le responsable de communication du SLECG, Mohamed Bangoura, la fête c’est pour tous les travailleurs de la Guinée. « Mais si des personnes se sont attaquées à nous, nous estimons que le gouvernement doit prendre ses responsabilités pour mettre main sur elles ».
Plus loin, il a précisé que son institution accorde au gouvernement un délai d’un mois et quelques jours pour faire la lumière sur la violence qu’a subi le secrétaire général du SLECG, Aboubacar Soumah et compagnie.
« Si rien n’est fait jusqu’au 30 juin prochain, nous passerons par tous les moyens légaux à notre disposition pour obtenir quelque chose. Le SLECG, dirigé par Aboubacar Soumah usera de tous ses moyens légaux pour se faire entendre », menace, Mohamed Bangoura.
AGP