La Guinée ne manque de patrimoine forestiers, mais plutôt de la politique d’entretenir. De nos jours, ces forets connaissent une crise profonde, car elles subissent des pressions assez énormes chose qui paraît très inquiétante pour la survie de la population humaine.
D’ailleurs les conséquences issues de cette dégradation poussée de la nature se font sentir partout, cela à travers le changement climatique, les problèmes écologiques et tant d’autres. Pour le directeur national des eaux et forêts notre patrimoine vert subit une exploitation à tous les niveaux d’où la nécessité d’entreprendre des mesures. « La situation n’est pas séduisante, la forêt se dégrade, elle est sous pression entropique. Les activités sont réalisées à tous les niveaux, je voudrai parler de l’agriculture itinérante, sur brûlis, l’élevage extensif, les activités minières, sans oublier l’exploitation irrationnelle du bois. Donc autant de facteurs qui détruisent la foret au quotidien, c’est pourquoi il est nécessaire d’entreprendre des actions pour inverser cette tendance en restaurant les zones à écologie fragile, en incluant dans tous les programmes d’exploitation l’aspect reboisement pour qu’il est équilibre » Affirme le colonel LAYALY CAMARA.
La mangrove reconnue pour son importance capitale dans la construction mais aussi dans les ménages connait aussi une exploitation anarchique et une disparition phénoménale. Il suffit d’aller sur l’ile de KABAK, le RIO PONGO, le RIO NUNEZ pour constater que si rien n’est fait les générations futures risquent de ne pas connaitre à leur temps cette espèce végétale. Des facteurs qu’il faut corriger conclu le directeur national de eaux et forêts.
Ibrahima Camara
622750332
